Bienvenue a vous qui decouvrez mon blog ... Je suis donc "Emma" . En fait, je suis un jeune homme parisien complétement amoureux des femmes (mais je suis aussi bisexuel... bien sûr) au point d'avoir eu envie de créer Emma ... créature fetichiste et , je l'espère ....sexy, afin de vivre mes désirs de talons et de nylon (pour faire court...) à la fois en tant qu'homme en présence d'une femme mais aussi en Emma pour savourer le plaisir subtil et sucré du contact de la soie ou du nylon sur ma peau (épilée of course) et la sensation divine que procure la cambrure du pied dans de beaux escarpins ou mules à talons aiguilles .... Vous aimez aussi tout ceci ???? Alors soyez les bienvenus dans mon univers .... Au plaisir de vous lire, découvrir .... Pensées fétiches Emma

Femmmmes je vous aimmmeee ainsi ....

magnificent seven

Tanya Hyde est une réalisatrice anglaise tres fetish dont les productions sont superbes et correspondent tout à fait à mes envies et desirs .... A VOIR D'URGENCE DONC !!!

la 1ere Emma

Récit de la première rencontre entre Emma et un couple : Emma a mis du temps à naître de façon satisfaisante. Les premiers émois au contact d’une paire de collants ou de bas sur mes jambes remontent à l’adolescence. J’ai eu la chance d’avoir une maman très féminine et un papa qui apparemment aimait beaucoup les jolis dessous. Donc, la garde-robe intime de ma maman a très vite suscité en moi d’étranges et délicieuses envies d’essayage … Nous sommes maintenant en 1996, Emma commence à ressembler à l’image que je recherche et je me permets donc, en ce samedi après midi, de me connecter sur minitel (eh oui) pour entrer en contact avec d’autres libertins. Par timidité, je décide de ne pas dévoiler mon penchant dans mon pseudo. Je suis donc un jh bissex qui cherche une belle rencontre avec un couple fétichiste et expérimenté. J’entre en contact avec un couple de l’Oise qui se définit comme SM soft, fétichiste et très « ouvert » aux scénarii élaborés: Alain et Martine. Au fil de notre dialogue, je sens l’excitation monter de plus en plus à mesure que leur description et leurs envies correspondent aux miennes. Ils ont tous les deux la fin quarantaine (je préfère nettement les partenaires plus âgés qu’Emma). Lui est bissex actif et « aux ordres » de sa femme. Ils sont complètement épilés tous les deux ; ils portent l’un et l’autre des bijoux intimes et sont particulièrement fétichistes du vinyl, des talons hauts et des bas coutures. Le rêve ! Avec la confiance, je dévoile à mon interlocuteur l’existence d’Emma et le fait qu’Emma n’a encore jamais « existé » en dehors de l’intimité de mon appartement. Cela excite beaucoup l’intérêt et la curiosité de mon contact. Très rapidement, il me propose de se rencontrer tous les 3 dès le soir même !! Ils habitent Senlis à 40 Km au Nord de Paris. Il est 16h et je m’entends accepter l’invitation avec empressement et fébrilité. Toutefois, la seule condition imposée par mon contact est que je sois INTEGRALEMENT épilé… N’ayant pas prévu cette rencontre, et étant moins au fait des techniques d’épilation qu’aujourd’hui, je me lance donc dans une grande opération « corps sans poils » avec les moyens du bord !!! Cela dure au moins deux heures ! Ce sont deux heures de fébrilité, d’excitation et de peur mêlées… merveilleuses sensations vraiment… Je suis désormais complètement glabre sur tout le corps pour la première fois de ma vie ! C’est unique comme sensation ; même si les feux du rasoir et de la crème dépilatoire mêlés me chauffent un peu partout ; le rasoir est à proscrire totalement pour certaines parties du corps ; les jours suivants me rappelleront souvent ce fait … Il est maintenant 20h30, nous avons rendez-vous à 22 h et je n’arrive pas à manger quoique ce soit. Mon estomac est noué, mon cœur ne sait plus descendre sous les 120 pulsations minutes et mon ventre se tord régulièrement d’anxiété, me faisant parfois envisager l’annulation du rendez-vous. Et puis, après tout, je ne les connais pas ces gens ! Je n’ai parlé qu’à Alain au téléphone, Martine était absente. Et même si le ton de sa voix et ses paroles rassurantes m’ont convaincue ; je me lance quand même sans beaucoup de certitudes et d’infos concrètes sur eux après tout ! Toutefois, l’excitation et la curiosité l’emportent et me voilà dans ma voiture direction Senlis… Le voyage, relativement court, me paraît durer une éternité … à tel point que je dois fréquemment réfréner mes ardeurs autoroutières … vraiment pas le soir pour se faire contrôler !! Je suis encore un jeune homme en apparence certes, mais sous mon jean, je sens les jarretelles tendues contre le haut et l’arrière de mes cuisses et je me surprends à regretter de ne pouvoir croiser et décroiser mes jambes en conduisant pour le contact soyeux que cela procure. Çà j’adore ! Après avoir un peu tourné dans le vieux Senlis pour trouver l’adresse (ce qui ajoute inutilement au stress) je me gare enfin devant le portail d’Alain et Martine. Nous sommes en février, il fait très froid, mais je suis sûr que j’aurais autant tremblé en sortant de mon véhicule si nous avions été en pleine canicule… Je sonne … Immédiatement, j’entends un chien aboyer agressivement… Et si c’était un lapin ? Et si cette maison n’était pas habitée par mes complices télématiques de l’après-midi ? Et si … ? Mon cœur s’emballe, mes mains sont moites et mon souffle très court … Au-dessus du portail, je vois que la lumière extérieure s’est allumée, quelqu’un sort et attache le chien. Je ne sais toujours pas si je suis au bon endroit ! Le portail s’ouvre électriquement. Je suis là, seul, debout face à ce portail qui met un temps infini à s’ouvrir … Je vois enfin l’autre côté ! Il y a une petite cour intérieure pavée, la maison est ancienne, sur 2 étage en grosses pierres de taille et bois. Les yeux du chien qui me fixe luisent dans la pénombre… Au fond de cette cour, une petite porte est entr’ouverte, l’intérieur est éclairé mais personne ne m’accueille sur le pas de porte! J’arrive devant la porte et je découvre Martine pour la 1ère fois !!! Il était convenu que ce serait elle qui m’accueillerait car Alain ne souhaite pas me voir en jh avant notre rencontre. Je lui souris à la fois soulagé et ravi de la personne que je découvre. Martine est debout dans la cuisine, souriante et terriblement excitante. Elle est blonde platine, la fin quarantaine, assez jolie de visage et merveilleusement opulente, corsetée de vinyl et chaussée d’escarpins à talons aiguilles, vertigineux, noirs vernis avec 2 boucles aux chevilles. Sa peau est blanche, laiteuse et certainement très douce. Ses seins sont lourds et arrogants. Ils semblent vouloir sortir de leur geôle de vinyl pour exploser à la face du monde et des impétueux. Elle m’excite vraiment beaucoup Martine. Sa voix est douce, elle est souriante et prévenante, je pense qu’Alain a dû lui dire que je débutais et elle sait très bien me mettre en confiance. Elle m’appelle Emma ! C’est la première fois que l’on s’adresse ainsi à moi ; surtout encore en jh ! J’apprécie le geste car il dénote d’une approche psychologique respectueuse de mon personnage et cela m’aide à me sentir en sécurité. Nous montons à l’étage. Martine me précède dans l’escalier. Je vois ainsi la finesse de ses talons aiguilles galber ses jambes gainées de nylon noir, son magnifique cul blanc, large et épanoui se mouvoir sensuellement de gauche à droite à qq centimètre de ma bouche, de mes mains… C’est très excitant tout comme le son de ses talons sur les marches en tommettes. Nous entrons directement dans la salle de bains. Avant de me laisser seul pour finir de me transformer, Martine me demande de baisser mon pantalon et ma culotte afin de vérifier si je suis bien épilée. Elle effleure mon sexe du bout des ongles et me fait bander ainsi immédiatement. Elle sourit et murmure un petit « Aaah » de contentement à la vue de mon désir. Elle me laisse ensuite me préparer. Je dois l’appeler quand je suis prête. La salle de bains est assez exiguë mais il ne reste plus grand chose à faire pour créer Emma. Me maquiller légèrement, poser ma perruque, enfiler ma robe et mes talons aiguilles… J’appelle Martine, je suis debout dans la salle de bains, face au miroir et je me regarde ainsi qq secondes … je n’arrive pas à me fixer trop longtemps, je veux juste vérifier que tout va bien et que je ressemble à quelque chose de féminin… Martine entre, me complimente et m’ordonne de mettre le bandeau noir qu’elle me tend… Je suis maintenant complètement aveugle et je suis guidée par Martine dans la chambre à coucher où m’attend Alain. On me fait asseoir et Alain me tend une coupe de champagne. Sa voix est enjouée, il est plus « sonore » que Martine et sans doute un peu moins « sophistiqué » que je ne l’imaginais mais je me sens en confiance. Ce que je ressens s ‘apparente enfin à de l’excitation SANS stress et le fait de ne pas voir Alain tout en ayant vu Martine est assez troublant. Nous parlons ainsi, ils me questionnent sur mes envies et désirs d’Emma, sur mes expériences solitaires passées. Parfois, lorsqu’un des deux se lève, ils passent tout près de moi et m’effleurent parfois du bout des doigts. Je frissonne à chaque fois et je me surprends à penser « s’il vous plait, utilisez- moi je suis votre objet sexuel dévoué et je brûle d’impatience de vous donner ma bouche, ma langue, mes mains, mon corps tout entier pour votre plaisir ». La timidité me rend toutefois muette et je me laisse ainsi guider. La conversation durera au moins une demi-heure sans qu’il ne se passe rien d’autre. Je ne tiens plus, j’ai envie de lécher le corps, le sexe, les seins lourds et généreux de Martine ; j’ai envie de sentir le sexe d’Alain gonfler dans ma bouche, j’ai envie de son sexe lisse. Soudain, Martine m’ordonne de me lever ; elle se place à côté de moi et m’explique qu’Alain est juste en face de moi, à quelques centimètres seulement (je sens sa respiration sur mes jambes en effet), qu’il a sorti son sexe et qu’il va ainsi se caresser pendant qu’elle dévoile un peu de l’intimité d’Emma. C’est divinement bon de sentir les mains de Martine remonter le long de mes jambes, s’immiscer sous ma petite robe noire et explorer très doucement mon entrejambe. Martine m’embrasse et me lèche le cou et c’est terriblement bon. J’entends le souffle d’Alain s’accélérer d’excitation et je perçois aussi le son de ses caresses sur son sexe. « Tu vas lécher ma poitrine petite salope, j’adore çà ! » L’ordre est bref, et ô combien désiré. Je sens la poitrine de Martine se plaquer contre moi. Debout et en talons, je suis beaucoup plus grande qu’elle, elle me fait asseoir sur le lit, jambes bien ouvertes et se place devant moi entre mes cuisses. Je touche pour la 1ère fois Martine. Sa poitrine est vraiment incroyable et j’ai une merveilleuse surprise en la libérant de sa « prison de vinyl »… Les tétons de Martine sont perçès d’un anneau de métal ! C’est fabuleux de sentir sous ma langue ses tétons ainsi ornés se durcir d’excitation… Je pourrais lui sucer la poitrine pendant des heures tellement elle me plait ! Alain s’est approché de moi et me caresse gentiment les jambes. Il me dit qu’il aime beaucoup regarder d’abord Emma avec Martine avant « d’entrer dans la danse ». Martine m’allonge sur le dos au bord du lit de sorte qu’elle puisse en fléchissant sur ses jambes, poser son sexe sur ma bouche. Là encore, en écartant le string de Martine, je sens que les lèvres charnues et lisses de son sexe sont elles aussi ornées de 2 anneaux. C’est délicieux ce sexe sur ma bouche offerte, je suis folle de désir et je ne veux qu’une chose : faire jouir Martine avec ma langue. J’adore ! Par chance, Martine semble apprécier mes caresses buccales et manuelles (mes mains reviennent toujours vers sa poitrine) et la « séance » dure longtemps. Son sexe est très humide et il « dégouline » sur mes lèvres lorsque Martine jouit sous mes coups de langues. Martine veut désormais jouer avec mon petit cul pendant que je sucerais Alain. Je me place donc en levrette, bien cambrée sur le lit ; Alain se place devant mon visage et Martine derrière moi ; prépare un gode de belle taille. Ils décident de me libérer la vue. Je regarde donc Alain et le découvre à cet instant. IL a plus de 50ans, il est un peu enrobé mais complètement épilé lui aussi. Il n’est pas très grand, râblé et légèrement dégarni… Seul, il ne m’aurait probablement pas plu suffisamment pour envisager une rencontre et c’eût été une erreur finalement vu la qualité des instants que nous avons vécus ensemble… Martine caresse lentement mon anus avec le gode en prenant bien soin de le lubrifier abondamment, Alain approche son sexe de ma bouche, il ne bande pas complètement ce qui laisse présager d’une belle taille finale … Je prends son sexe en bouche et commence à aller et venir langoureusement le long de la hampe d’Alain. Son sexe gonfle petit à petit sous l’effet de ces caresses, il me félicite et me dit à quel point il apprécie ma bouche ; il me parle ainsi doucement et Martine continue à titiller mon petit trou. Je suis très très excitée par tout cela et je redouble de gentillesse sucrée envers la queue, maintenant dressée, d’Alain. Son sexe est plutôt long et assez épais, sa peau à cet endroit est d’une douceur infinie et je sens ses couilles lourdes et lisses sous mes doigts et ma langue. Martine semblait attendre le bon moment pour me pénétrer, l’instant magique où l’excitation et l’envie sont telles que tout devient possible… et même souhaitable. Elle introduit d’abord lentement le gode dans mon intimité humide et lubrifiée, c’est une première (attendue et désirée depuis longtemps certes, mais une première quand même). Le gode me pénètre facilement sans douleur et provoque même en moi des sensations fortes et nouvelles absolument délicieuses et troublantes. Je ne suis pas la seule à être « chamboulée » par le spectacle car assez vite Alain gémit de plus en plus fort. Soudain, il sort son sexe de ma bouche, m’ordonne de lui lécher les couilles et se masturbe frénétiquement ainsi. Il jouit assez rapidement et abondamment sur son bas-ventre. Je suis fière, heureuse et comblée d’avoir suscité une telle réaction chez Alain, même si j’aurais aimé en profiter plus longuement … Ceci dit, je serais très mal plaçèe pour « critiquer » le manque de contrôle d’Alain étant donné la suite de la nuit. En effet, une fois apaisé Alain prend un peu de recul et nous regarde Martine et moi. Martine sait et a senti que cette pénétration accessoirisée était une première, et elle a l’expérience et le tact de savoir qu’il convient de ne pas « abuser » pour une initiation. Elle me fait relever, nous nous caressons ainsi devant Alain pendant quelques minutes d’une douceur et d’une féminité soyeuse. Enfin, elle me sussurre à l’oreille ce que je n’osais imaginer et espérer « Emma a t-elle envie de me prendre ?? » Oh oui sublime Martine, Emma a très très envie de vous depuis le début. Je n’osais simplement pas envisager que cela puisse être réciproque… Allongée sur le dos, les jambes écartées et relevées par Alain, je contemple quelques instants Martine la pulpeuse vicieuse mûre de mes fantasmes ainsi offerte à mon désir « d’homme ». Elle est flamboyante, ses yeux scintillent de désir et m’invitent à succomber à ce feu qui nous dévore simultanément toutes les deux. Je m’allonge sur elle, je plaque mon sexe contre le sien, je l’embrasse et caresse ses seins, je titille ses mamelons de petits coups de dents. Je sens l’humidité et la moiteur de sa chatte contre le nylon de mes bas, c’est si bon ! Je n’en peux plus, il FAUT que je pénètre cette belle femme offerte. Mon sexe entre dans son con très facilement, elle est trempée et la chaleur de son intimité est impréssionante… J’aurais voulu honorer ce corps toute la nuit, mais l’excitation est telle que je ne peux m’empêcher de jouir en elle intensément au bout de quelques va et viens seulement. C’est si fort et frustrant à la fois … Martine semble ravie d’avoir déclencher un tel orgasme chez Emma. Nous nous allongeons toutes les deux sur le lit, repues et libérées, libres et éternelles, comme en apesanteur dans un autre monde fait de douceurs, de sensualité et de sexe. Nous sommes là, en dehors du temps, fières d’avoir ainsi été au bout de nos envies et, pour ma part, déjà consciente que la porte que je venais d’ouvrir n’était pas prête de se refermer...